quarta-feira, 18 de dezembro de 2019

Video hp

https://www.rts.ch/play/tv/lactu-en-video/video/haut-potentiel?id=10808707

terça-feira, 1 de outubro de 2019

'Como, efetivamente, integrar e admitir este paradoxo central que fragiliza o sobredotado sobre seu percurso: a relação íntima que existe entre a extrema inteligência e a vulnerabilidade psíquica.'

https://vivianeanetti.blogspot.com/2015/08/plus-proches-que-vous-ne-croyez.html?fbclid=IwAR070mgLrD0mrFeghplGFvaH8lB76Zq28pdHY6ShYKN0vx-SDKvDI2NhyRg

domingo, 8 de setembro de 2019

le surdoué une fois adulte


#article Vous me l'avez beaucoup demandé mais, l'article étant payant, je ne pouvais pas le diffuser ... 4 mois ont passé, alors maintenant je peux le divulguer. C'est un article pour faire le point autour de cette question importante : Que deviennent les enfants surdoués, qui sont-ils à l'âge adulte ? Alors, bien sûr, il ne peut y avoir une seule réponse, chaque parcours, chaque vie est unique. Et il ne peut non plus exister de prédestination : Un enfant surdoué qui a eu une enfance tranquille, un ado surdoué qui a su mobiliser ses talents pour tracer sa route ne devient pas systématiquement un adulte heureux ... mais peut l'être, évidemment, heureusement !, et se sentir accompli, épanoui. A l'inverse, un enfant surdoué qui a eu des difficultés scolaires, un
adolescent surdoué qui a traversé une crise grave, ne deviendra pas, de façon prévisible ou programmée, un adulte en souffrance, en errance. Tout est toujours jouable, à tous les âges. Le cerveau est plastique, peut se modifier à chaque instant, selon nos choix, nos pensées, nos émotions, nos comportements, nos décisions. Oui, nous avons une vraie liberté de devenir celui ou celle qui nous va bien. Parce qu'on le vaut bien ? Oui, on le vaut toujours bien ! Cet article paru dans Cerveau&Psycho du mois de Mai 2017, fait un point sur la question. Un point certes synthétique mais avec un regard qui permet d'élargir le focus : un surdoué n'a pas un profil unique mais quand on est surdoué, les caractéristiques à la fois sur les plans de l'intelligence et de l'affectif, conduisent à des parcours singuliers et quelquefois de sacrés obstacles à surmonter ou d'incroyables réussites à assumer !

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terça-feira, 6 de agosto de 2019

Les "Hypersensibles anonymes" (groupe de parole thérapeutique bimensuel)
« Sureffiscient », « à haut potentiel intellectuel », « surdoué », « zèbre », etc.
Autant de termes pour parler du même sujet, mais de quoi s’agit-il vraiment ?
Peu importe l’étiquette, l’important à retenir est qu’il s’agit d’un mode de fonctionnement, d’une manière particulière d’appréhender les choses et le monde qui se démarque de celle de la plupart des gens. Cette différence, qui est loin d’être une fin en soi, laisse souvent un sentiment de solitude, de décalage qui peut être lourd et difficile à vivre au quotidien.
Pourquoi participer à ce groupe de parole thérapeutique ?
Parce que vous avez lu un livre sur la sureffiscience ou que vous avez entendu quelqu’un en parler et que vous vous êtes reconnu dans ce mode de fonctionnement si particulier, ou même peut-être que vous avez été détecté comme haut potentiel par un professionnel (que ce soit avec des tests à l’appui ou non).

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segunda-feira, 22 de julho de 2019

Vamos avanzando...se habla de la intensidad emocional, de la hipersensibilidad, de las necesidades educativas, de los estigmas sociales, de que la diferencia no es cuantitativa, sino cualitativa ("la alta capacidad es una manera diferente de entender y procesar la realidad"), de lo aparentemente caóticos que parecen en las tareas cotidianas....y bien por la foto, más relacionada con la creatividad que con Einstein, en la que por fin vemos a una niña!!! (B. Suarez)
http://elpais.com/elpais/2016/07/18/mamas_papas/1468833218_804430.html?id_externo_rsoc=FB_CC

sábado, 15 de junho de 2019

lereveildusurdoue

"Comprendre ce qu’est une personne dite à « Haut Potentiel » :

Loin de s’identifier à ce terme de surdoué (entendant sur-doué), elle préférera utiliser des termes plus nouveaux ou qui ne le renvoie pas à sa différence, tels que Zèbre, Arborescent ou même Haute fréquence…je vous laisse en imaginer d’autres…

2 aspects indissociables pour déterminer ce qu’est une personne dite à « Haut Potentiel ».

1) Une intelligence cérébrale différente. Par son schéma de pensée tout à fait atypique , on dit de lui qu’il est arborescent et non séquentiel par rapport à la majorité des personnes dites »normo-pensantes » (ou neuro-typiques).
Ce dernier schéma de pensée s’articule en enchaînant une pensée après l’autre, puis une autre, puis une autre…etc. Quant à celui de la personne au  Haut Potentiel, du type arborescent , il est tout autre :  une pensée entraînant tout un flot de pensées qui donne accès encore à une multitude d’autres…ayant le sentiment d’avoir un cerveau en ébullition cherchant souvent le bouton « Off » et je dirais que c’est ce qui lui confère une particularité de poids : mettre en relation des données sans lien apparent pour une solution globale et ceci en temps presque immédiat….Cette fulgurance d’esprit mettra la personne au Haut Potentiel souvent en difficulté d’expliquer les moyens qui lui ont permis de parvenir à cette solution tant son cheminement est rapide.
Cette intelligence particulière lui confère un haut Quotient Intellectuel (QI).

2) Une intelligence émotionnelle ou intuitive surdéveloppée. En effet, hyperesthésique, la personne au Haut Potentiel dirait que toute émotion, sensation  aurait l’effet d’un raz-de-marée sur son état intérieur, quand la personne Normo-Pensante sentirait juste une vaguelette. Cette intelligence émotionnelle est appelée hypersensibilité, celle qui lui permet notamment de ressentir tout ce qui est de l’ordre de l’invisible, dont les émotions, les énergies et les intuitions font partie. Cette capacité fait de ces surdoués des empathes, dotés de cette capacité de ressentir les émotions des autres et de s’identifier à eux par leur grande perméabilité. Cette deuxième intelligence qu’on dit aussi intuitive est souvent malmenée et incomprise…par l’environnement familial et par la personne au Haut Potentiel elle-même, affirmant que cette dernière est un être fragile, trop sensible, se laissant choisir dans ses relations.
Bienveillante et altruiste grâce son intelligence émotionnelle puissante, la personne au Haut Potentiel est dotée d’un haut Quotient Emotionnel (QE).

Grâce à ces deux intelligences puissantes, les personnes au Haut Potentiel sont des êtres très créatifs, inventifs, multi potentiels, loyaux, honnêtes, aidants, efficaces, bienveillants…et pourtant ils ont beaucoup de mal à mettre tout ceci en œuvre dans ce monde normatif ; elles  passent pour être crédules et s'entendent dire souvent que « le monde des Bisounours » n’existe pas…et bien oui j’entends souvent beaucoup de mes patients me dire qu’ils ont le sentiment d’être nés dans ce monde sans avoir eu le mode d’emploi tant ils dérangent car ils se sentent incompris. Acharnés et volontaires pour s’y adapter et en faire partie, ils développeront une hyper-adaptabilité tout en restant en marge, se refugiant pour les uns en mode I (intellectuel) et E (Emotionnel) pour les autres…et ainsi on parle de HPI ou HPE…mais ça c’est une autre histoire…A bientôt.

Alors on aime et on partage pour aider les Zèbres à se reconnaître dans ce fonctionnement…afin de sortir de leur bosquet."

Dans la tête d'un surdoué

https://m.youtube.com/watch?v=E0hiKWGZU5I&feature=youtu.be

terça-feira, 4 de junho de 2019

"Alors que les HP ont ce besoin d'apporter plus d'intensité et de perspective aux mots déjà existants à l'image de leur schéma de pensée arborescent...mais aussi de créer de nouveaux mots pour apporter contextuellement plus de sens..."

"Négapositivité : communication négative sur des actes positifs.
Petit tueur de l'enfant intérieur."

quarta-feira, 29 de maio de 2019

https://www.rayuresetratures.fr/dire-quon-est-zebre-surdoue-ou-le-garder-pour-soi/

Dire qu’on est zèbre/surdoué ou le garder pour soi…

28 mai 2019
Après tous les articles du blog, vous aurez compris à quel point il est important de comprendre son fonctionnement. Mais, une fois que l’on sait, faut-il le dire aux autres ?

C’est une question qui revient très régulièrement dans les messages que je reçois. Si autant de personnes me posent la question, c’est qu’elles ressentent le besoin de le dire. Et je crois que c’est vrai, souvent, on a besoin d’en parler lorsqu’on le découvre, surtout lorsque cette découverte est tardive, car c’est tout un chamboulement, et que ce n’est pas toujours facile de le garder pour soi.

1. Ressentir le besoin de dire que l’on est surdoué/zèbre

Alors, bien sûr, le résultat du test est très personnel, il touche à notre propre fonctionnement, à notre identité, à l’intime. Pourtant, oui, une fois qu’on l’a appris,  compris, et intégré, on peut ressentir une terrible envie de partager cette nouvelle donnée, de le crier sur tous les toits, d’expliquer aux gens pourquoi on réagit de telle ou telle manière, car maintenant on comprend.

Parfois, c’est pour se justifier aussi, pour montrer à ceux qui ont pu nous faire des réflexions que non, on n’est pas “fou” ou “bizarre”, on est zèbre, et c’est tout. Et surtout, c’est pas grave.
En fait, avant de se demander si on en parle aux autres ou non, et si oui, comment, je crois que c’est important de comprendre ce qu’on attend de ce coming out. A qui on souhaite le dire ? A ses proches ? A son employeur ? A ses amis ? A ses profs ? A tout le monde ? Et pourquoi ? Pour qu’ils comprennent ? Pour qu’ils s’adaptent ? Pour qu’ils se posent des questions sur eux-mêmes ? Pour qu’ils arrêtent de penser qu’on est bizarre ? Pour qu’ils arrêtent de nous dire qu’on est trop sensible ? Pour qu’ils arrêtent de nous forcer à rentrer dans le moule ? Pour les rassurer ? Pour se libérer ? Parce qu’on veut que tout le monde comprenne ce que c’est, “être surdoué” ?
C’est important de se poser ces questions, car, bien souvent, si on ressent un besoin urgent d’en parler, on a aussi très peur des conséquences d’une telle révélation. A juste titre. Alors, il faut mesurer ce besoin, et les risques.

2. La peur des réactions… à cause des clichés

Ce qui nous inquiète, ce n’est pas tellement de le dire, c’est la réaction qu’aura la personne face à cette révélation. Car si nous, on a enfin compris ce que veulent dire les mots “surdoué”, “à haut potentiel”, ou “zèbre”, la personne en face, elle, qui ne connaît pas, n’entendra pas spontanément “fonctionnement différent”, elle entendra probablement “je suis plus intelligent que toi”.

Et ça, ce n’est vraiment pas le message qu’on a envie de transmettre. La révélation si importante à nos yeux pourra être mal reçue, simplement parce que les préjugés ont la vie dure. A l’inverse, certains seront réceptifs et écouteront avec bienveillance et admiration cette révélation qui demande quand même du courage, tant il est difficile de parler de soi.
En fait, selon notre parcours scolaire (si on a été un bon élève ou au contraire si on a eu un parcours chaotique), professionnel, notre personnalité, notre vécu, selon les gens, l’entourage,  les réactions seront très diverses.
Toi, tu te prépareras longtemps, et il te faudra du courage pour le dire.
Eux répondront :

Ou bien :

Ou bien :

…et vaqueront à leurs occupations.
Ou alors :

Ou encore :

Ou même :

L’interlocuteur peut aussi mettre en doute cette révélation, surtout si la personne a toujours été en échec scolaire :

Alors, forcément, cette incertitude quant à l’interprétation de ce que l’on a à leur dire peut bloquer. Faut-il vraiment le dire ? Ou renoncer pour se protéger ?

3. Alors… faut-il le dire ?

Vous commencez à me connaître, vous savez bien que je ne vous dirai pas si “oui” ou “non” vous devriez le dire à vos proches, puisqu’il n’y a… pas de réponse 🙂 Tout dépend de vous, de vos attentes, de la personne en face. 
Le dire peut soulager, vraiment. Peut vous aider à crever l’abcès et après on n’en parle plus. Peut vous aider à vivre en harmonie avec vos proches.

Mais le dire peut aussi provoquer un rejet.
Tant que la notion n’est pas bien comprise, tant que les préjugés sont encore bien présents, il faut faire un petit peu attention. Car le dire, c’est aussi dévoiler une part de sa personnalité, de son intimité, et si votre équilibre est encore bancal et que la personne en face n’est pas réceptive, cela peut avoir un effet plus néfaste que libérateur.
Certains zèbres avec lesquels j’ai pu échanger me racontaient se sentir investis d’une mission, d’une responsabilité : le dire pour montrer qu’on l’assume, que ce n’est pas un problème, démocratiser la notion, sensibiliser, le dire à tout le monde pour que ce ne soit plus tabou. C’est important de sensibiliser, je ne vais pas vous dire le contraire, j’en ai fait mon métier, mais c’est important aussi de se préserver, surtout quand c’est un sujet intime, et vouloir le garder pour soi ne veut pas dire qu’on ne l’assume pas ni que l’on faillit à une responsabilité, il ne faut pas culpabiliser si vous n’avez pas envie de le dire. Il y a un temps pour tout, pour l’intégrer pour soi, et pour sensibiliser les autres si vous le souhaitez. S’il y en a qui se sentent prêts et y voient un effet libérateur, tant mieux, vous nous aiderez beaucoup à sensibiliser, mais il ne faut surtout pas que ce soit ressenti comme une obligation. 

4. Si on choisit de le dire…comment faire ?

Là non plus, je ne pourrai pas vous donner de réponse 🙂 Si quelqu’un a le besoin ou envie de faire son coming out, il n’y a pas de règle à suivre. C’est du sur-mesure. En fonction de son parcours, en fonction de comment on l’assume et l’intègre, de comment on le vit, en fonction de ce qu’on attend de cette révélation, en fonction de la personne en face, de sa personnalité, et du moment choisi.
Certains auront besoin de le dire tout d’un coup, de ne pas tourner autour du pot.

D’autres, au contraire, auront plutôt besoin d’y aller petit à petit, de bien expliquer, de déconstruire les clichés sur les surdoués avant de parler de soi. 
Moi, j’ai eu besoin de le faire via un intermédiaire : ce blog. Je ne savais pas comment aborder le sujet, mais j’avais vraiment envie, et besoin, de le faire. J’avais peur des réactions. Je ne le formulais pas à l’oral, alors j’écrivais et je dessinais à ce propos sur le blog. Sans parler de moi directement.

Quand j’ai conçu le livre Rayures et Ratures, je me suis dit que ça pourrait être bien de le faire coloré, attrayant, avec une couverture franche, pour que les gens qui n’osent pas trop en parler à leur entourage puissent le laisser traîner discrètement sur la table du salon, et que l’entourage se dise “tiens, c’est quoi ?” et n’ait pas peur de l’ouvrir. Comme un support pour amorcer le dialogue, parce qu’on n’a pas tous la force d’aller dans le vif du sujet directement.
Je reçois de temps en temps des messages de gens ayant fait leur coming out grâce au livre ou grâce à des illustrations du blog, et c’est, je crois, le plus beau compliment que je puisse recevoir. Savoir que mon travail peut aider, favoriser le dialogue, c’est la plus belle des récompenses.

5. En fait, le plus important, c’est de se le dire à soi-même.

Pour ceux qui n’auraient pas envie, pas besoin, ou peur de le dire, je voudrais leur partager ces messages que des lecteurs ont laissé sur les réseaux sociaux de Rayures et Ratures :
“ Je crois surtout que le plus important, ce n’est pas que l’entourage sache, le plus important c’est de le savoir soi-même afin de mieux appréhender sa différence et comment se servir efficacement de sa différence pour réussir enfin là où on a toujours échoué car la méthode était inadaptée”
Alexandre (sur Facebook!)
“Le principal, c’est d’être respecté, pas forcément compris de tous. Le plus important étant de se comprendre soi-même”.
Aurélien (sur Instagram!)
Alors, faites votre coming out à vous-même, et ensuite, si seulement vous avez envie, dites-le aux autres !

6. Et après ?

Et après cette période de découverte ? Des personnes fraîchement détectées me demandent souvent comment j’en parle, moi. Comment je le dis aux gens, maintenant que j’ai pris du recul sur tout cela.
En fait… je ne le dis pas.
Comme beaucoup, j’ai eu besoin d’en parler à quelques personnes de mon entourage lorsque je l’ai découvert. Sans forcément mettre un mot, juste en expliquant. Aujourd’hui, je ne ressens plus ce besoin. J’ai compris mon fonctionnement, maintenant ça ne fait plus partie de mon quotidien, ou plutôt, pas plus que n’importe quelle composante de ma personnalité ! Je n’en parle pas.
Alors, bon, forcément, avec un blog et un livre sur le sujet, les gens qui me côtoient de près ou de loin et connaissent mon travail le savent, ou s’en doutent. Mais sinon, je ne cherche pas à rencontrer des zèbres (je suis même peu active dans les rencontres). Je ne vis pas autour de cette notion. Parce que je n’en ai pas besoin. (Mais je comprends que certains en aient besoin, attention). L’important pour moi était de comprendre qui j’étais. Après, j’ai lâché prise. Ce n’est pas au centre de ma vie. Alors bien sûr je suis très engagée pour aider les autres et sensibiliser à la différence en général, dont celle-ci. Je tiens à ce que chacun comprenne, pour que tous ces petits et grands zèbres qui se découvrent vivent de mieux en mieux, pour que ce ne soit plus un sujet tabou. Mais en dehors de mon travail de sensibilisation, je suis silencieuse.
Je sais que si ce sujet est abordé lors d’une conversation, j’en parlerai librement. Mais souvent, je n’ai pas envie d’en parler. Cela ne veut pas dire que je n’assume pas, ou que j’estime que c’est tabou. Juste que je juge que ce n’est pas nécessaire en fonction de la situation et de la personne en face de moi.

Tout ça pour conclure que…

Le dire, ne pas le dire, c’est propre à chacun. Vouloir le garder pour soi ne veut pas dire que l’on n’assume pas. Cela peut être votre petit jardin secret, et c’est très bien. Mais vous pouvez aussi le dire, si vous en avez envie, et si vous en avez besoin. Vous avez le droit, et ça permettra aux gens de mieux comprendre. Dans ce cas, demandez-vous ce que vous attendez de ce coming out, choisissez bien les personnes à qui vous vous adressez, et la meilleure façon, pour vous, de faire passer votre message !

Je ferai de prochains articles pour parler des cas plus spécifiques du monde de travail (Est-ce qu’on le dit à son employeur ? A ses collègues ? Dans quel but ? Qu’est ce qu’on attend ?) mais également des enfants(Si l’enfant choisit de le dire, comment se préparer aux réactions, est-ce qu’en tant que parent on le dit quand on parle de lui, comment le dire à l’école ?)

sábado, 11 de maio de 2019

Une question que beaucoup se posent. Une question importante. Une question multiformes. Quelques pistes de réflexion. C'est dans le Cerveau et Psycho du mois de mai ! Et nous pouvons aussi partager vos expériences ici, vous avez été détecté surdoué dans l'enfance ou adulte, vous avez fait un bilan parce que vous aviez des difficultés ou au contraire parce que vous aviez des facilités, vous avez découvert votre profil "par hasard" au décours d'un bilan de compétence par exemple, vous avez souhaité faire des tests car vous vous posiez la question de votre profil de fonctionnement et vous êtes dans une trajectoire de réussite de votre vie, ... ou toute autre configuration ? Aujourd'hui vous êtes satisfait globalement de votre vie ou à l'inverse votre parcours est chaotique ? Parlons en, échangeons ! Les témoignages permettent d'enrichir notre compréhension de ces profils atypiques et de mieux accompagner ceux qui en ont besoin. Merci d'être là !

terça-feira, 2 de abril de 2019

Centre Arborescence
@CteArborescence
"Le #surdoué possède un haut #QI mais certaines personnes à haut QI ne sont pas forcément surdouées." Découvrez les différences de fonctionnement entre un "surdoué" et un "haut QI" par #ChristineMortamais, coach et accompagnatrice en développement...
https://m.youtube.com/watch?v=U7Kz-DNRybw

quarta-feira, 27 de março de 2019

surdoués. Dr Olivier Revol

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=1591927404169475&id=111129345582629
Beaucoup de Haut Potentiels Intellectuels (HPI) vont bien, "à condition qu’ils n’aient pas trop souffert pendant leur enfance".

Le Dr Olivier Revol et son équipe ont fait des découvertes qui changent le regard sur les "surdoués".
RADIO TELEVISION SUISSE (RTS)

segunda-feira, 11 de fevereiro de 2019

https://www.huffingtonpost.fr/virginie-cotel/apprendre-que-je-suis-surdouee-a-34-ans-a-bouleverse-ma-vie_a_23649254/?ec_carp=7298373471106876649&fbclid=IwAR2j_8NFJUqTqogVyrxyrCm0gnAkfgOqDJZjjWtauSpHRCRhtnM6X_b04Hc
'Trechos.
(...) Atenção para não se deixar agarrar pelas representações dominantes. Como se a representação corrente de uma grande inteligência supusesse a obrigação de um grande destino. Isto não é uma crítica, é claro. Mas uma constatação. A explicação? O medo. Pois na sua leitura acelerada da vida, o adulto sobredotado se reconecta brutalmente a ele mesmo, a todas as questões meticulosamente abafadas. A resposta é mais sutil, mas complexa. Trata-se menos de fazer algo de diferente que de ser enfim si mesmo.
~ O BB, Brillant Bosseur, não é o sobredotado... É a origem da confusão. Pensar que aquele que tem êxito brilhantemente é forçosamente sobredotado. Então mistura-se duas características distintas. O Brilhante Hard-Working (B. Bosseur) é aquele que possui uma grande inteligência mas adaptativa. Uma forma de inteligência parecida àquela de todos. Somente diferente em quantidade e não em qualidade. O primeiro tem uma inteligência quantitativamente superior mas qualitativamente idêntica. De mais, com esta inteligência adaptativa, saberá otimizar trabalhando para fazer uma força de sucesso exemplar, no sentido mais clássico do termo.
Mas esses BBs se distinguem dos sobredotados pela sua facilidade de utilizar seu potencial cujas formas adaptadas convêm bem à nossa sociedade. De outro lado, a natureza da inteligência mais intensa, desenfreada, do sobredotado, torna seu mais difícil. Para ele, o combate é ele mesmo primeiro. É chegar a aprisionar, dosar, canalizar seu pensamento e sua compreensão tentacular do mundo em um curso linear e concentrado. Tudo apaziguando as asperezas as mais sensíveis e dolorosas de sua sensibilidade. É seu primeiro desafio. Depois, somente depois, ele poderá se interrogar sobre como fazer com o mundo?
~ 'L'émotion pour un surdoué s'insinue partout, tout le temps, dans les moindres interstices. Et quelquefois, on joue à l'adulte.'
O sobredotado é particularmente dotado na matéria: ele capta toda sorte de emoções, mesmo a mais tênue. Eles sabem antecipá-la.
~ Todos os sentidos a serviço do prazer de viver. A hiperestesia redobra as possibilidades. A colocação em ação de todos os sentidos simultaneamente e sua notável capacidade de discriminação, dão ao sobredotado uma presença no mundo fora do comum. A hiperestesia amplifica todas as percepções. Ela permite criar o bonito lá onde outros não verão senão o banal. Ela ilumina o mundo pela densidade emocional que todos os sentidos proporcionam. A hiperestesia pode ser utilizada para capturar o ambiente e o magnificar. Utilizar todos os sentidos para abraçar o mundo. Tudo sentir pode ser um imenso prazer e a fonte de momentos mágicos de vida.
~ A sensibilidade poética e estética, culto ao Belo.
~ A hipersensibilidade invasiva. Sentir tão forte as emoções, a vida que vibra em torno de si. Tudo perceber, amplificado, aumentado, incontornável. Captar e registrar o mais ínfimo detalhe. Aquele tão insignificante, que não atravessou a barreira da consciência. Então, inchado de emoções, de sensações, a vida torna um relevo admirável, uma densidade rara. Intensa.
~ A incompreensão recíproca do mundo. Não se compreende os outros.. e somos incompreendidos.
Como compreender o incompreensível? O sentido. Primeiro o sentido. Sempre o sentido. O motivo condutor do funcionamento do sobredotado, a procura obstinada e incoercível. A busca do sentido das coisas, do sentido preciso das coisas, absoluto. O risco? A procurar um sentido a tudo acaba-se por encontrar o absurdo, o não-sentido. O simples bom senso não tem mais curso. Então como compreender o incompreensível? E o sobredotado, decepcionado, não compreende mais. Retorna nas questões jamais resolvidas.
Compreender de outra forma produz bem estranhos malentendidos. Na sua vida profissional, é o leito de numerosas decepções e de malentendidos por vezes irreversíveis.
~ Na vida pessoal ou no universo profissional, esta inteligência singular, capaz de pensar um problema ativando simultaneamente representações múltiplas, alarga consideravelmente a compreensão e a análise. Cada problema pode ser estudado sob vários ângulos. Tudo será explorado. E, ao final, uma avaliação rara e exaustiva, um poder de reflexão fora do comum, uma visão esclarecida e potencial. Um imenso trunfo a utilizar sem moderação!
~ A evasão pelo pensamento. O mais frequente é falar disso como uma crítica. Critica-se, na infância e mesmo no adulto, evadir-se no pensamento. Pode-se compreender que este funcionamento possa ser irritante ou perturbador em certas situações. Mas é também uma maneira muito útil de utilizar os recursos de pensamento. O imaginário rico alimentado pela memória, a exarcebação de todos os sentidos e as capacidades de associação podem fabricar um sonho suficientemente forte para vos extrair momentaneamente e vos alimentar. O corpo resta lá mas o espírito se destaca e todo nosso ser, físico e psíquico, participa da viagem. Um verdadeiro prazer. Uma verdadeira regalia para todos os sentidos e em todos os sentidos. Um pleno de energia.
~ Confunde-se, na realidade, sucesso, aquele comumente admitido por todos, e sentimento de sucesso, que escapa às regras estabelecidas. O sentimento de sucesso é íntimo, pessoal, resulta de uma alquimia sutil. Experimentar o sentimento de ter êxito em sua vida é independente do ambiente.
Para o sobredotado, preso a múltiplas interrogações, a uma colocação em questão incessante, como pensar o sucesso? Pode-se somente o pensar? Para o sobredotado, isto não pode ser senão um sentimento flutuante, instável.
Para o sobredotado, ter sucesso, é possível? Não como ele gostaria. Jamais à altura do ideal que ele tem da vida e de si mesmo. Para ele, obter êxito, é fazer avançar a humanidade, o mundo. Não se trata de um sucesso profissional clássico. Não é perfeitamente isto para um sobredotado, mesmo se ele participa disto. Ele vive com uma visão mais transcendental do sucesso. O sobredotado está raramente satisfeito. A imagem do sucesso que ele pode por vezes dar não está jamais sincronizado com sua visão do mundo.
"Meu projeto, você irá certamente zombar de mim, confessa-me Julien, seria de ajudar a humanidade a melhor viver." Ainda encontra-se murmurando, consciente da megalomania de seu desejo, que o que desejaria, seria ser como Jesus ou Buda para transmitir uma mensagem ao mundo e fazer profundamente evoluir os homens.
Vê-se o abismo que separa o que aparece da realidade e o sonho grandioso. Mas que incomoda, sempre, o sobredotado. Mesmo quando ele não diz nada e que parece tão arrumado numa vida clássica de felicidades simples e no sucesso complacente. Não se enganem: no fundo de si, o projeto insensato continua a murmurar.
~ Quando o tempo não está sincronizado com o que se vive: não poder aproveitar as coisas. É uma combinação da falha espaço-temporal e da diferença do tempo: o sobredotado tem dificuldade de estar totalmente no que ele faz, no que ele vive. Seu pensamento o conduz a analisar seu presente em lembranças ou num passado mais amplo, mas também a se projetar num futuro onde ele se recordará do que ele está em forma de viver no aqui e agora.
~ A falha espaço-temporal: Viver em vários espaços-tempos. Isto se complica ainda. O sobredotado se sente multi-idade, mas ele se situa igualmente em vários espaços-tempos: passado-presente-futuro. Tempo do vivido individual, mas que é também recolocado no contexto do espaço-tempo do universo. Impossibilidade do sobredotado de se desatar do contexto. Sua existência, sua razão de ser e de viver é dependente dA Vida, ocm um A e um V maiúsculos. Sua vida é ligada ao sentido do munod. Mesmo se o sentido lhe escapa, ele não pode se considerar como isolado do resto. Toda sua vida pessoal é perpetuamente colocada em perspectiva à escala do universo. Para o sobredotado, somente esta perspectiva universal e intemporal pode ter sentido e dar sentido à vida comum de cada um.
~ Aquele que tem a idade do mundo. Mas eis outra face inesperada. A parte infantil do sobredotado, smepre muito presente, costeia uma outra percepção: se sentir multi-idade. A sensação, segundo as circunstâncias, os contextos, as pessoas com as quais se encontra, de ter simultaneamente ou sucessivamente níveis de maturidade diferentes.
(...) Atenção, eu não estou em vias de dizer que o sobredotado é todo-poderoso e onipotente. Mas eu digo que seu modo de funcionamento, sob as versões intelectual e afetiva, dão a ele uma hipermaturidade muito característica. Uma criança hipermadura! A hipermaturidade deve ser aqui compreendida como esta capacidade única de analisar com uma lucidez exemplar todas as componentes de uma situação e aí se adaptar. Ou lutar contra, o que torna-se o mesmo em termos de mecanismo.
Os adultos sobredotados partilham uma característica perfeitamente surpreendente e entretanto bem escondida: uma parte infantil ainda muito presente. Então, algumas vezes, brinca-se de adulto, dá-se ares de adulto... tudo sonhando como uma criança!
O mais frequente, a criança sobredotada cresceu sabendo. Sua capacidade de sentir o outro, os outros, sua receptividade emocional, suas capacidades de percepção e de análise tinham enviado a ela a mensagem: atenção, ilusão! Ela adquiriu muito cedo a certeza que ser adulto não está conforme às imagens que estes últimos tentaram mostrar.
~ Toda a sua hipersensibilidade à disposição do prazer de viver!
~ A lucidez estonteante. como viver com esta lucidez que inunda tudo que o cerca. Não identificada nos manuais de psicologia. Que escruta o menor recanto. Uma lucidez que penetra o mais profundo do outro. A lucidez do sobredotado é tanto mais potente quanto ela se alimenta de uma dupla fonte: a inteligência aguçada que disseca e analisa, a hiper.receptibilidade emocional que absorve a mais ínfima partícula de emoção ambiente.
~ Todo o funcionamento intelectual e afetivo aguça os contornos, desde criança, claro.
~ etc.
tradução Viviane Anetti (J.S.-Facchin, autora francesa)

sexta-feira, 8 de fevereiro de 2019

le décalage

https://www.facebook.com/danslatetede/videos/2227724213956293/  ~ dans la tête de..
"Je fais les études que j'ai envie de faire, j'ai 20 ans, je suis en bonne santé, ça devrait rouler, et il y a ce sentiment d'être derrière un vitre en plexiglas, qu'il y a une incommunicabilité, qu'il y a quelque chose qui ne passe pas."

terça-feira, 29 de janeiro de 2019